Une inauguration, ça a un côté protocolaire, normalement.
Huiles et cartons d'invitation, sauf que là, tout le monde en avait reçu un.
Tenue vestimentaire appropriée, mais aujourd'hui c'était
Huiles et cartons d'invitation, sauf que là, tout le monde en avait reçu un.
Tenue vestimentaire appropriée, mais aujourd'hui c'était
histoires de bottes.
à tout le moins ministériel
, Il y avait
et les autres
.Vous me direz, tout est affaire de point de vue
et il faut dire que de là-haut, c'est pas mal !
La question du jour n'était donc pas celle-là. Mais beaucoup plus cruciale : "Allait-il pleuvoir?" Et bien NON ! Enfin si, mais après l'apéro. Donc que nenni.
On avait eu le temps de couper le ruban
(Certains avaient même fait provisions abondantes 
"pour pouvoir se faire des cocardes, en vue de la prochaine révolution")
Et on avait eu le temps de l'essentiel : voir si le revêtement en graves de Maupas allait supporter le piétinement indiscipliné
de cette foule si bien chaussée qu'elle ne pensait qu'à papoter,
s'échangeant des nouvelles des enfants partis aux grandes villes,
ou la recette de la gelée de sureau,
le poids pharaonnique de la dernière cueillette de rosés des prés (ben oui, tout le monde ne peut se targuer de cueillir des cèpes sur les bords de laVézère Vègre)
ou le bon moment pour faire des boutures sous "accélérateur de croissance".
Enfin tous ces évènements de première importance qui allaient à n'en pas douter changer la face de ce bout de campagne.
Puis il y eut les discours tirés de la poche, apéritif et petits sablés, repapotage et enfin enfin, après de si vives émotions qui nous avaient mis l'estomac dans les talons et "500 kms de rando pour 2012" sous les semelles, le pique-nique, véritable dégustation du terroir jardinier.
Hélas, il a fallu quand même quitter cette aimable compagnie, bien qu'on ait cru comprendre que certains avaient sorti les cartes et qu'ils y étaient peut-être encore...
Ah, là là, on vous l'avait dit, le bonheur est dans le pré
de cette foule si bien chaussée qu'elle ne pensait qu'à papoter,
ou la recette de la gelée de sureau,
le poids pharaonnique de la dernière cueillette de rosés des prés (ben oui, tout le monde ne peut se targuer de cueillir des cèpes sur les bords de la
ou le bon moment pour faire des boutures sous "accélérateur de croissance".
Enfin tous ces évènements de première importance qui allaient à n'en pas douter changer la face de ce bout de campagne.
Puis il y eut les discours tirés de la poche, apéritif et petits sablés, repapotage et enfin enfin, après de si vives émotions qui nous avaient mis l'estomac dans les talons et "500 kms de rando pour 2012" sous les semelles, le pique-nique, véritable dégustation du terroir jardinier.
Hélas, il a fallu quand même quitter cette aimable compagnie, bien qu'on ait cru comprendre que certains avaient sorti les cartes et qu'ils y étaient peut-être encore...
Ah, là là, on vous l'avait dit, le bonheur est dans le pré
Mots-clés : randonnée pédestre, Conseil Municipal, communauté de communes, presse
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