"La Vègre, alors gonflée par les pluies hivernales, courait plus vite qu'un torrent, suçant de ses flots terreux les berges fragiles. Puis elle étendait ses longs cheveux humides sur les terres environnantes, les gorgeant de ses eaux minces et plates où se reflétait en un miroir, un ciel bas et lourd de nuages prêts à crever leurs grains d'eau" (Ronde de Vègre, 1999, Extraits)
Mots-clés : Vègre, eaux, Asnières-sur-Vègre, Moulins
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